dimanche 21 novembre 2010
THE NEW HOLLYWOOD ( IX )
THE NEW HOLLYWOOD ( VIII )
Brian De Palma et Scorsese s'étaient rencontrés pour la première fois en 65 à l'université de New York. A 29 ans, De Palma était déjà une légende pour les réalisateurs débutants. Il avait derrière lui plusieurs films indépendants comme "Greetings" (68) et "Hi, Mom!" (71), tournés avec un acteur inconnu nommé Robert. Quand Scorsese s'installa à Los Angeles, De Palma lui présenta une jeune actrice nommée Jennifer Salt qui partageait une maison avec Margot Kidder parce qu'elles avaient joué les rôles principaux de "Sisters" (73). Kidder commença à sortir avec De Palma. A l'époque, Bobby Fischer disputait à Spassky le titre de champion du monde d’Échecs, et la folie des Échecs avait gagné cette bande. Brian enseigna à Margot à jouer, et chaque fois qu'elle faisait un coup stupide, il renversait l'échiquier.
mercredi 12 mai 2010
V FOR VENDETTA - 2006
In View, a humble Vaudevillian Veteran... Cast Vicariously as both Victim and Villain by the Vicissitudes of fate. This Visage no mere Veneer of Vanity is a Vestige of the Vox populi now Vacant, Vanished. However, this Valorous Visitation of a by go Vexetation stands Vivified and has Vowed to Vanquish these Venal and Virulent Vermin Vanguarding Vice and Vouchsafing the Violently Vicious and Voracious Violations of Volition. The only Verdict is Vengeance, a Vendetta... Held as a Votive not in Vain, for the Value and Veracity of such... Shall one day Vindicate the Vigilant and the Virtuous. Verily this Vichyssoise of Verbiage Veers most Verbose. So let me simply add that it’s my very good honor to meet you...
And you may call me V.
jeudi 6 mai 2010
BLADE RUNNER - 1982
mardi 20 avril 2010
THE NEW HOLLYWOOD ( VIII )
dimanche 18 avril 2010
FROM RUSSIA WITH LOVE - 1963
Venise
La femme sur le pont qui filme Bond et Tatiana est l'épouse du réalisateur Terence Young.
NOUVELLE VAGUE ( II )
mardi 13 avril 2010
BIG BOSS - 1971
dimanche 11 avril 2010
AN AMERICAN IN PARIS - 1951
Le film est un conte de fées qui met entre parenthèses les contraintes de la vie de tous les jours.
Deux femmes entrent dans sa vie : Milo, qui s'intéresse à ses tableaux et veut protéger l'artiste sans le sou; et il y a Lise... Naturellement, Jerry va préférer Lise à Milo. Malheureusement, Lise a déjà un autre homme dans sa vie.
Tout le film est une fête, célébrée par Gene Kelly et Leslie Caron que Kelly avait découverte deux ans plus tôt dans un ballet des Champs-Elysées. Une fête en hommage au Paris de la bohème, à l'amour et à la musique.
Musique immortelle de George et Ira Gershwin. Kelly chante "I got rhythm" dans un merveilleux duo avec les enfants des rues de Paris, au cours duquel l'américain leur apprend l'anglais.
Le film est également une fête de la narration : Le film commence avec trois narrateurs qui nous introduisent dans l'histoire avec leurs commentaires en off.
Des séquences visionnaires sont insérées dans l'histoire, comme la fois où Adam rêve de donner son premier concert au cours duquel il ne se contente pas d'être assis à son piano et de diriger les autres musiciens, mais joue aussi de tous les instruments de musique.
A la fin, le film se détache définitivement de toute dramaturgie cinématographique connue pour conclure avec un ballet de 18 minutes tourné en stéréo dont la production coûta 500 000 dollars sur les 2,7 millions réservés au budget.
Accompagnés seulement par la musique, sans chansons ni dialogues, Kelly et Caron dansent un mélange de danse moderne et de ballet classique dans un Paris très stylisé s'inspirant du monde iconographique de peintres français comme Renoir, Degas, Utrillo et Toulouse-Lautrec. Grandiose !
Ayant été dessinateur et décorateur, Vincente Minnelli attachait une attention particulière aux décors de ses films.
La première eut lieu à New York le 4 octobre 1951.
Ce film a reçut 6 Oscars en 1952 : celui du meilleur scénario, du meilleur film, des meilleurs costumes, de la meilleure musique, de la meilleure image et de la meilleure direction artistique.
An American in California
Le film fut tourné dans les studios de la MGM, en Californie.
Au final, deux plans présentant la ville furent tournés à Paris.
Gene Kelly réalisa les scènes de danse qui introduisent Lisa, le personnage de Leslie Caron, ainsi que la séquence intitulée "Embraceable You".
vendredi 9 avril 2010
NOUVELLE VAGUE ( I )
mardi 6 avril 2010
DA VINCI MODE
samedi 3 avril 2010
THE NEW HOLLYWOOD ( VII )
Scorsese meets De Niro
Scorsese rencontra De Niro à un dîner. Au détour de la conversation, ils découvrirent qu'ils avaient grandi à quelques pâtés de maisons l'un de l'autre. Ils sympathisèrent immédiatement. De Niro, qui prenait son job d'acteur très au sérieux, ne sortait pas et était peu loquace. Il était timide à un point tel qu'il lui était difficile de trouver du boulot.
"Vous ne risquiez pas de le retrouver au poste de police" se rappelle la directrice de casting Nessa Hyans, parlant de lui comme elle le ferait d'un bon élève. De Niro lut "Mean Streets" et accepta le rôle de Johnny Boy. Harvey Keitel jouerait Charlie, un personnage à l'image de Scorsese, partagé entre l'Église et la mafia.
La plupart des intérieurs furent tournés à L.A à l'automne 72. "Pour faire Mean Streets, j'ai dû apprendre comment on faisait concrètement un film, raconte Scorsese. On ne m'avait pas appris à faire des films à l'école de cinéma. Ce que l'on vous y enseigne, c'est à vous exprimer avec des images et du son. Mais faire un film est totalement différent. Ce qui compte, ce sont les gens et le calendrier de tournage. Ça veut dire que vous allez devoir vous lever à 5 heures pour être là. Il faut que ça tourne."
Après une première projection de "Mean Streets", De Niro, Scorsese, sa petite amie et quelques autres se retrouvèrent au restaurant pour ce qui devait être un débriefing. Mais De Niro et Scorsese disparurent aux toilettes et y discutèrent du film pendant deux heures et demie. Seuls. La petite amie de Scorsese raconta la suite: "Ce que Marty et De Niro faisaient ensemble, ils le faisaient en privé. Aucune femme n'était acceptée."
Après avoir fini la postproduction de "Mean Streets", Scorsese s'envola pour montrer une copie du film à Coppola.
"C'est comme ça que Coppola a vu De Niro, rapporta Scorsese.
Immédiatement, il le mit dans "The Godfather part II"...
THE NEW HOLLYWOOD ( VI )
THE APARTMENT - 1960
La seule chose que Baxter n’a pas prévu c’est que ses sentiments pourraient lui jouer des tours en tombant amoureux justement de la maîtresse du chef du personnel…
Oscars
mardi 30 mars 2010
LES YEUX SANS VISAGE - 1960
samedi 13 mars 2010
THE NEW HOLLYWOOD ( V )
Il explosa tous les records et rassembla 55 millions de dollars au box-office.
Le film avait seulement coûté 775 000 dollars, plus 500 000 supplémentaires pour payer l’impression des copies et la promotion, soit un retour sur investissement de 4 300 %.
Il se demandait pourquoi aucun critique américain ne l’avait relevé.
OUR MAN FLINT - 1965
Et comme 008 est déjà en mission, personne n’est capable d’assumer la situation.
Médecin et scientifique, il fabrique ses gadgets, jugeant ceux de la C.I.A trop ridicules.
Possédant une connaissance très poussée du yoga, il peut se mettre en catalepsie.
dimanche 14 février 2010
THIS PROPERTY IS CONDEMNED - 1966
Le Mississipi dans les années 30.
Alva est convoitée par tous les cheminots de la région. Elle rêve du Prince Charmant et celui-ci se présente en la personne d’un envoyé de
Tiré d’une pièce de Tennessee Williams, ce film confirmait les talents conjugués d’un scénariste, Francis Ford Coppola, d’un acteur, Robert Redford, et surtout d’un metteur en scène, Sydney Pollack, qui tous allaient marquer de leur empreinte les années 70.
Sous l’apparence d’une banale Love Story Sudiste, ce splendide mélodrame ouvrait une ère nouvelle du romantisme hollywoodien.
Sydney Pollack n’a pas son pareil pour décrire les élans romantiques à fleur de peau sur fond de crise sociale.
Natalie Wood racontant ses rêves, s’inventant un monde parfait ou courant à perdre haleine vers son amant dans les rues de
C’est le premier film de Pollack dans lequel il décrit l’Amérique d’aujourd’hui en la filmant au passé.
samedi 13 février 2010
THE NEW HOLLYWOOD ( IV )
dimanche 31 janvier 2010
A BOUT DE SOUFFLE - 1959
« A Bout De Souffle » fait table rase de la psychologie, de la sociologie, de la logique, de la morale et bien sûr, du cinéma traditionnel.
Scarface…
Le ton alerte du récit, la décontraction des personnages, les private jokes, les impros, les tournages à la sauvette en prise directe sur l’événement, une caméra dissimulée aux regards, tout cela donne une impression de renouveau complet de matière et de manière filmiques.
Le producteur trouvant le film trop long, Godard eut l’idée de modifier son montage en coupant dans chaque séquence, gommant les temps morts, escamotant les transitions. D’où ce ton syncopé, électrisant.
"I don't know if I am unhappy because I am not free, or I am not free because I am unhappy"...
Avec « A bout de souffle », Godard se joue des firmes américaines et viole librement le code Hayes, code d'autocensure en vigueur à Hollywood jusqu'en 1966 et montre des gros plans de lèvres qui se joignent ou encore une tâche de sang évoluer dans le dos de Michel.
Contre-indication absolue au cinéma, le long monologue face caméra se termine par un superbe
« allez vous faire foutre », ceci matérialise l’indifférence définitive des artistes de la « Nouvelle Vague ».
On ose tout, quitte à ne pas plaire.
Film noir
Le film est dédié à la « Monogram Pictures », firme américaine spécialisée dans la production de films « noirs ». Les signes distinctifs s’accumulent sur différents modes : Allusions, citations, hommages, emprunts :
Présence d’affiches de films avec Palance et Bogart, de salles de cinéma, du cinéaste Melville, bandes son ("Whirpool" de Preminger et "Westbound" de Boeticher), private joke ( Poiccard refuse d'acheter « Les cahiers du cinéma »), gestes et imitations de Bogart.
« Entre le chagrin et le néant, je choisis le chagrin »
Patricia : « Quel est le pays le plus intelligent du monde ? » Parvulesco : « La France. » Patricia : « Est-ce que vous aimez Brahms ? » Parvulesco : « Comme tout le monde, pas du tout. » Patricia : « Et Chopin ? » Parvulesco : « Dégueulasse. » Patricia : « Quelle est votre plus grande ambition dans la vie ? » Parvulesco : « Devenir immortel. Et puis, mourir. »
Chambre 12, Hôtel de Suède
Des Champs Elysées à Montparnasse, la chambre 12 de l’Hôtel de Suède à Saint-Michel reste toutefois l’épicentre : Scènes de théâtre, scènes d’amour, scènes de ménage, ce lieu est l’emblème du film.
Fait divers
François Truffaut s'est inspiré d'un fait divers l'ayant marqué pour proposer le sujet à Jean-Luc Godard. A partir de cette histoire, Godard a tissé un scénario alliant un récit éclaté, un regard quasi-documentaire sur Paris.
Jazz
Pour la musique, Godard fait appel à Martial Solal.
Paris
« A Bout De Souffle » est un guide jubilatoire du savoir-vivre Parisien :
Quand un passant demande du feu à Belmondo, il ne lui prête pas son briquet, il lui donne de l’argent pour aller s’acheter une boîte d’allumettes. Quand il prend un taxi, il lui hurle dessus quand une voiture moins rapide passe devant. Pour un rendez vous avec son amie, il vole une décapotable américaine 5 minutes avant, prétextant que son coupé est en panne…
Film tourné en muet
Le film est tourné en muet le plus souvent caméra à la main et avec un minimum d'éclairage.
Le choix de tourner en muet, était contradictoire avec les principes esthétiques des cinéastes de la « Nouvelle Vague » qui deviendront, dès 1962, quand l'évolution des outils le permettra, de fervents adeptes du son direct.
Le Nagra, premier magnétophone portable, existe depuis 1958, mais il était encore difficile, sinon impossible, de tourner en décor naturel et en son synchrone, en 1959 à cause de l'encombrement des caméras 35 mm. Les seules caméras qui pouvaient permettre de tourner en son synchrone étaient de grosses caméras de 80 kilos avec lesquelles il était impossible de travailler à la main.
Les cinéastes de la « Nouvelle Vague » utilisent presque tous la caméra fabriquée par Coutant-Mathot depuis 1947, la Cameflex, caméra légère et peu encombrante mais très bruyante qui rendait à peu près impossible toute prise de son directe.
Film tourné sans éclairages additionnels
Il existait déjà une pellicule noir et blanc ultra rapide par rapport aux normes de l'époque, la Gevaert 36 dont l'esthétique préfigure celle de la « Nouvelle Vague ».
Godard décide d'utiliser cette pellicule pour les scènes de jour et trouve une pellicule encore plus sensible pour les scènes de nuit.
Il sait que les reporters utilisent des pellicules noir et blanc plus sensibles que les pellicules cinéma.
Coutard lui parle ainsi de l'Illford HPS fabrique en Angleterre. Mais la HPS n'existe pas en pellicule cinéma, seulement en petits rouleaux de 17,50 mètres. Godard décide de les coller pour obtenir des bobines films et d'utiliser la caméra dont les perforations se rapprochent le plus de celles du Leica qui se trouve heureusement être la Cameflex.
Godard obtient, en plus, que ses pellicules soient développées avec un révélateur spécial qui double la sensibilité de l'émulsion. Les laboratoires GTC de Joinville possèdent heureusement une machine supplémentaire désaffectée qu'ils acceptent d'utiliser pour Godard.
La technique de reportage est totalement acceptée par Coutard, ancien reporter de guerre, opérateur de films produits par Beauregard et qui n'a pas de compte à rendre avec la corporation et accepte de tourner le mieux possible dans des appartements de fortune poussant parfois seulement l'éclairage d'origine.
Pas de pied de caméra ou de pied de projecteurs mais travelling soit sur les Champs Elysées avec un tricycle de facteur camouflé pour passer inaperçu soit lorsque les intérieurs sont suffisamment lisses, avec un fauteuil de paralytique qu'il pousse parfois lui-même. Travelling en 2CV sur le sol pourtant pavé lors de la dernière scène.
Tourné en 21 jours utiles entre le 17 août et le 19 septembre 1959
Le film est tourné au jour le jour mais sans improvisation, Godard remettant le texte au dernier moment le faisant évoluer au jour le jour.
Censure
Le 2 décembre 1959, la commission de censure interdit le film au moins de 18 ans. L'interdiction sera levée en 1975. « Tout dans le comportement de ce jeune garçon, précise le rapport, son influence croissante sur la jeune fille, la nature du dialogue, contre-indique la projection de ce film devant des mineurs ». Une coupure est demandée, celle qui montre les présidents Eisenhower et De Gaulle remontant en voiture les Champs-Elysées. La commission a toujours jugé inopportune, la représentation dans les films, de chefs d'état ou de chefs de gouvernement en fonction.
Le film sort le 16 mars 1960 dans quatre salles grand public et connaît un succès public immédiat malgré l'interdiction aux moins de dix-huit ans pénalisante.
lundi 25 janvier 2010
THE PRESTIGE - 2006
La structure de « The Prestige » confirme les prédestinations de Nolan à l’écriture d’intrigues bafouant la continuité temporelle.
Comme si cela ne suffisait pas de remettre le puzzle en place, on ne comprend pas les tours de magie. Défilent des tours de fête foraine ou des tours de science-fiction extraordinaires, on ne trouve pas l’explication et c'est magique ou on comprend trop bien et c'est tragique ...
Et puis, on s’aperçoit que les magiciens se manipulent eux-mêmes. C’est grandiose. On assiste à la représentation d’un grand magicien, mais c’est un autre magicien qui le fait disparaître ! parce que ce dernier donnait son spectacle en face et ça le dérangeait, quoi de plus magique.
Ils n’hésitent pas à se mettre en danger en utilisant les technologies naissantes, tout est bon pour être le premier, mais à quel prix ...
Tout les oppose : Robert Angier possède un don pour la mise en scène, Alfred Borden maîtrise vraiment la magie. Donc ils sont rivaux de par leur jeu, leur avidité mais ils sont également les deux facettes complémentaires de la même personne.
Il faut savoir que ce type de compétition entre magiciens a vraiment existé. A une époque, il pouvait y avoir à Londres jusqu'à cinq ou six magiciens qui se produisaient dans plusieurs théâtres, le même soir et cette époque est unique dans l'histoire de la magie.
Ce qui devient fabuleux, c'est qu'il s'agissait donc de l’époque où le cinéma naissant et la magie avaient beaucoup en commun. Et là où ça devient carrément dingue, c’est que Nolan y a donné encore une lecture supplémentaire : En effet, « The Prestige » ne se contente pas d’être un film sur la rivalité et la quête de domination de deux magiciens, mais également un procès catégorique porté sur le cinéma hollywoodien producteur de films qui ne cessent de se copier… ! Le dernier plan du film démontre toute la subtilité de la construction et de ces différentes lectures voulues par Nolan.
« The Sting »
C’est un film implacable, rusé. Une parabole sur l’ambition et le pouvoir. Sur la manipulation.
Le franchissement de la frontière entre ce qui est truqué et réel, accéléré par un événement tragique, permet d’explorer la face cachée des apparences lorsqu’on cherche à repousser les limites de la magie et de l'illusion au détriment de l’être humain.
Prestigieux
Enchaînement des séquences, fluidité, images subliminales, codes chéris du film noir, habileté et virtuosité habituelles du « Dark Knight ».. ! Un autre miracle entre 2 « Gotham Movies ».
Mankiewicz et Caine
Michael Caine apparaît comme le lien adéquat et on pense à « Sleuth » et ses multiples retournements de situation. C’est encore un double clin d’œil (Mankiewicz /Bale) : Même au second plan, on ne voit que Caine. En définitive, c’est lui qui contrôle tout.
La promesse, le revirement et le prestige
Le titre, « The Prestige », renvoie dans le film au dernier acte d'un tour de magie.
En effet, chaque tour est composé de trois actes :
« la promesse » présente au public une situation banale,
« le revirement » montre la situation de départ devenant extraordinaire,
« le prestige » présente l'aspect le plus spectaculaire du tour.
L'époque victorienne
« The Prestige » se déroule à l'époque victorienne, une période très riche en découvertes technologiques et scientifiques.
L'éclairage du film a été directement inspiré des progrès technologiques de l'époque.
Des scènes ont été éclairées à la bougie et à la lampe à huile, puis l'électricité a été introduite de manière éclatante et certains lieux ont même été éclairés à la lampe électrique.
Les décors
Pour créer l'atelier d'Alfred Borden, Nathan Crowley s'est inspiré de l'atelier du magicien Houdini.
David Bowie
Le personnage de Tesla a réellement existé.
Inventeur passionné et homme de science, Tesla a immigré aux Etats Unis et s'est imposé comme un Léonard de Vinci contemporain. On lui doit notamment la découverte du champ magnétique rotatif indispensable pour tout dispositif utilisant le courant alternatif, ainsi que la bobine de Tesla, engin à induction qu'on emploie couramment en radio.
Sa rivalité avec Thomas Edison, rappelle la rivalité qui existe entre Borden et Angier.
Décidément…